Graine de Violence

Graine de Violence

Le podcast qui chronique les grands fêlés des l'histoire de la musique

Graine de Violence

Graine de Violence est une série de portraits d'icônes de la musique moderne, soigneusement sélectionnés pour leurs vies périlleuses, leurs œuvres singulières ou leurs folies encombrantes. En m'appuyant sur des bouquins et des discographies, j'essaie de comprendre ce qui nourrit leur musique, ce qu'elle veut nous dire. Surtout, je cherche à savoir ce qui me bouleverse dans les mélodies de ces individus parfois peu recommandables. Si vous aimez les stars déchues, les perdants magnifiques, les héros sacrifiés et les méchants romanesques qui hantent vos oreilles, Graine de Violence est pour vous.

En cours de lecture

Lou Reed, le pire d'entre eux : INTEGRAL

Si vous suivez Graine de Violence depuis le premier épisode, alors vous m'avez déjà entendu prononcer son nom une paire de fois. Lou Reed a toujours été là, tapis dans l'ombre, il attendait son heure pour débarquer dans ce podcast qui lui doit beaucoup. Aurais-je écrit ne serait-ce qu'un seul mot si mes oreilles n'avaient jamais croisé le Velvet Underground ? Pas sûr. Tout comme ses ex-comparses du Velvet qui ont déjà ey droit à leur Graine de Violence - comme par hasard - Lou Reed a largement contribué à alimenter, pour le meilleur et pour le pire, une mythologie discutable. Si le rock était une religion polythéiste, alors Lou Reed serait Hadès, le dieu des Enfers. Les grands amoureux de l’œuvre du rockeur qui se voyait écrivain vous diront qu'il était un personnage compliqué, tandis que les autres décrèteront, sans détour, que c'était une ordure. Dans ce double épisode exceptionnel, je tente d'expliquer - à vous et à moi-même - ce qui me touche tant dans la musique de ce grand méchant du rock.

Merci à Michel Tuttle pour le montage voix, et à Pomme et Lily pour la relecture ! Jetez vous sur leurs podcasts respectifs : Mauvais Travail, Choixpitre et Doctor What.

Merci à Lily Luca pour sa belle polyphonie en début d'épisode (allez écouter sa musique https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3GnPjvHsWsTkiS6OJNdrHB)

Quelques références…

Des bouquins :

Lou Reed, A Life – Anthony DeCurtis
Perfect Day, An Intimate Portrait of Life With Lou Reed – Bettye
Kronstad
Transformer – Ezra Furman
White Light White Heat – Richie Unterberger
The Velvet Underground – Jim DeRogatis
Lou Reed, les Années Noires (chapitre du livre The Dark Stuff) – Nick Kent
Please Kill Me – Legs McNeil & Gillian McCain
Les articles de Lester Bangs :
Sourd-muet dans une cabine téléphonique : une parfaite journée
avec Lou Reed (1973)
Monolithe ou monotone ? Metal Machine Music de Lou Reed (1975)
Comment je me suis castagné avec Lou sans m’endormir une seule fois
(1975)
Comment devenir tortionnaire sans effort (1976)
Le plus grand album jamais enregistré (1976)

Des disques :

The Velvet Underground :
The Velvet Underground & Nico (1967) *
White Light White Heat (1968) *
The Velvet Underground (1969) *
Loaded (1970)
VU (1985)
Les Lives :
1969 : The Velvet Underground Live (1974) *
Live MCMXCIII (1993) ** Lou Reed Solo :
Lou Reed (1972) *
Transformer (1972)
Berlin (1973) *
Sally Can’t Dance (1974)
Metal Machine Music (1975) ?????
Coney Island Baby (1975) *
Rock’n’Roll Heart (1976)
Street Hassle (1978) *
The Bells (1979)
Growing Up In Public (1980)
The Blue Mask (1982)
Legendary Hearts (1983)
New Sensations (1984)
Mistrial (1986)
New York (1989)
Songs For Drella (1990)
Magic & Loss (1992) *
Set The Twilight Reeling (1996)
Ecstasy (2000)
The Raven (2003)
Hudson River Wind Meditations (2007)
Lulu (avec Metallica) *-

En cours de lecture

Lou Reed, le pire d'entre eux : Partie 4

Ceci est la dernière partie d'une quadrilogie d'épisodes consacrés à Lou Reed, il est donc fortement conseillé d'écouter les trois premières parties avant celle-ci !

Si vous suivez Graine de Violence depuis le premier épisode, alors vous m'avez déjà entendu prononcer son nom une paire de fois. Lou Reed a toujours été là, tapis dans l'ombre, il attendait son heure pour débarquer dans ce podcast qui lui doit beaucoup. Aurais-je écrit ne serait-ce qu'un seul mot si mes oreilles n'avaient jamais croisé le Velvet Underground ? Pas sûr. Tout comme ses ex-comparses du Velvet qui ont déjà ey droit à leur Graine de Violence - comme par hasard - Lou Reed a largement contribué à alimenter, pour le meilleur et pour le pire, une mythologie discutable. Si le rock était une religion polythéiste, alors Lou Reed serait Hadès, le dieu des Enfers. Les grands amoureux de l’œuvre du rockeur qui se voyait écrivain vous diront qu'il était un personnage compliqué, tandis que les autres décrèteront, sans détour, que c'était une ordure. Dans ce double épisode exceptionnel, je tente d'expliquer - à vous et à moi-même - ce qui me touche tant dans la musique de ce grand méchant du rock.

Merci à Michel Tuttle pour le montage voix, et à Pomme et Lily pour la relecture ! Jetez vous sur leurs podcasts respectifs : Mauvais Travail, Choixpitre et Doctor What.

Merci à Lily Luca pour sa belle polyphonie en début d'épisode (allez écouter sa musique https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3GnPjvHsWsTkiS6OJNdrHB)

Quelques références…

Des bouquins :

Lou Reed, A Life – Anthony DeCurtis
Perfect Day, An Intimate Portrait of Life With Lou Reed – Bettye
Kronstad
Transformer – Ezra Furman
White Light White Heat – Richie Unterberger
The Velvet Underground – Jim DeRogatis
Lou Reed, les Années Noires (chapitre du livre The Dark Stuff) – Nick Kent
Please Kill Me – Legs McNeil & Gillian McCain
Les articles de Lester Bangs :
Sourd-muet dans une cabine téléphonique : une parfaite journée
avec Lou Reed (1973)
Monolithe ou monotone ? Metal Machine Music de Lou Reed (1975)
Comment je me suis castagné avec Lou sans m’endormir une seule fois
(1975)
Comment devenir tortionnaire sans effort (1976)
Le plus grand album jamais enregistré (1976)

Des disques :

The Velvet Underground :
The Velvet Underground & Nico (1967) *****
White Light White Heat (1968) *****
The Velvet Underground (1969) *****
Loaded (1970) ****
VU (1985) ****
Les Lives :
1969 : The Velvet Underground Live (1974) *****
Live MCMXCIII (1993) ****
Lou Reed Solo :
Lou Reed (1972) ***
Transformer (1972) ****
Berlin (1973) *****
Sally Can’t Dance (1974) ***
Metal Machine Music (1975) ?????
Coney Island Baby (1975) ****
Rock’n’Roll Heart (1976) **
Street Hassle (1978) *****
The Bells (1979) **
Growing Up In Public (1980) *
The Blue Mask (1982) ***
Legendary Hearts (1983) **
New Sensations (1984) **
Mistrial (1986)*
New York (1989) ****
Songs For Drella (1990) *****
Magic & Loss (1992) ****
Set The Twilight Reeling (1996) ***
Ecstasy (2000) ***
The Raven (2003) ***
Hudson River Wind Meditations (2007) **
Lulu (avec Metallica) ***

En cours de lecture

Lou Reed, le pire d'entre eux : Partie 3

Ceci est la troisième partie d'une quadrilogie d'épisodes consacrés à Lou Reed, il est donc fortement conseillé d'écouter les deux premières parties avant celle-ci !

Si vous suivez Graine de Violence depuis le premier épisode, alors vous m'avez déjà entendu prononcer son nom une paire de fois. Lou Reed a toujours été là, tapis dans l'ombre, il attendait son heure pour débarquer dans ce podcast qui lui doit beaucoup. Aurais-je écrit ne serait-ce qu'un seul mot si mes oreilles n'avaient jamais croisé le Velvet Underground ? Pas sûr. Tout comme ses ex-comparses du Velvet qui ont déjà ey droit à leur Graine de Violence - comme par hasard - Lou Reed a largement contribué à alimenter, pour le meilleur et pour le pire, une mythologie discutable. Si le rock était une religion polythéiste, alors Lou Reed serait Hadès, le dieu des Enfers. Les grands amoureux de l’œuvre du rockeur qui se voyait écrivain vous diront qu'il était un personnage compliqué, tandis que les autres décrèteront, sans détour, que c'était une ordure. Dans ce double épisode exceptionnel, je tente d'expliquer - à vous et à moi-même - ce qui me touche tant dans la musique de ce grand méchant du rock.

Merci à Michel Tuttle pour le montage voix, et à Pomme et Lily pour la relecture ! Jetez vous sur leurs podcasts respectifs : Mauvais Travail, Choixpitre et Doctor What.

Merci à Lily Luca pour sa belle polyphonie en début d'épisode (allez écouter sa musique https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3GnPjvHsWsTkiS6OJNdrHB)

Quelques références…

Des bouquins :

Lou Reed, A Life – Anthony DeCurtis
Perfect Day, An Intimate Portrait of Life With Lou Reed – Bettye
Kronstad
Transformer – Ezra Furman
White Light White Heat – Richie Unterberger
The Velvet Underground – Jim DeRogatis
Lou Reed, les Années Noires (chapitre du livre The Dark Stuff) – Nick Kent
Please Kill Me – Legs McNeil & Gillian McCain
Les articles de Lester Bangs :
Sourd-muet dans une cabine téléphonique : une parfaite journée
avec Lou Reed (1973)
Monolithe ou monotone ? Metal Machine Music de Lou Reed (1975)
Comment je me suis castagné avec Lou sans m’endormir une seule fois
(1975)
Comment devenir tortionnaire sans effort (1976)
Le plus grand album jamais enregistré (1976)

Des disques :

Berlin (1973) *****
Rock'n'Roll Animal (1974) ***
Sally Can’t Dance (1974) ***
Lou Reed Live (1975) ***
Metal Machine Music (1975) ?????
Coney Island Baby (1975) ****
Rock’n’Roll Heart (1976) **
Street Hassle (1978) *****
The Bells (1979) ***
Growing Up In Public (1980) *
The Blue Mask (1982) ****
Legendary Heart (1983) ***
New Sensations (1984) **
Mistrial (1986) *

En cours de lecture

Lou Reed, le pire d'entre eux : Partie 2

Ceci est la deuxième partie d'une trilogie d'épisodes consacrés à Lou Reed, il est donc fortement conseillé d'écouter la première partie avant celle-ci !

Si vous suivez Graine de Violence depuis le premier épisode, alors vous m'avez déjà entendu prononcer son nom une paire de fois. Lou Reed a toujours été là, tapis dans l'ombre, il attendait son heure pour débarquer dans ce podcast qui lui doit beaucoup. Aurais-je écrit ne serait-ce qu'un seul mot si mes oreilles n'avaient jamais croisé le Velvet Underground ? Pas sûr. Tout comme ses ex-comparses du Velvet qui ont déjà ey droit à leur Graine de Violence - comme par hasard - Lou Reed a largement contribué à alimenter, pour le meilleur et pour le pire, une mythologie discutable. Si le rock était une religion polythéiste, alors Lou Reed serait Hadès, le dieu des Enfers. Les grands amoureux de l’œuvre du rockeur qui se voyait écrivain vous diront qu'il était un personnage compliqué, tandis que les autres décrèteront, sans détour, que c'était une ordure. Dans ce double épisode exceptionnel, je tente d'expliquer - à vous et à moi-même - ce qui me touche tant dans la musique de ce grand méchant du rock.

Merci à Michel Tuttle pour son studio et son excellente interprétation du journaliste malmené (allez écouter son podcast https://podcastaddict.com/podcast/mauvais-travail/3097211 )

Merci à Lily Luca pour sa belle polyphonie en début d'épisode (allez écouter sa musique https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3GnPjvHsWsTkiS6OJNdrHB)

Quelques références…

Des bouquins :

Lou Reed, A Life – Anthony DeCurtis

Perfect Day, An Intimate Portrait of Life With Lou Reed – Bettye Kronstad

Transformer – Ezra Furman

White Light White Heat – Richie Unterberger

The Velvet Underground – Jim DeRogatis

Lou Reed, les Années Noires (chapitre du livre The Dark Stuff) – Nick Kent

Please Kill Me – Legs McNeil & Gillian McCain

Les articles de Lester Bangs :

Sourd-muet dans une cabine téléphonique : une parfaite journée avec Lou Reed (1973)

Monolithe ou monotone ? Metal Machine Music de Lou Reed (1975)

Comment je me suis castagné avec Lou sans m’endormir une seule fois (1975)

Comment devenir tortionnaire sans effort (1976)

Le plus grand album jamais enregistré (1976)

Des disques :

Berlin (1973) *****

Rock'n'Roll Animal (1974) ***

Sally Can’t Dance (1974) ***

Lou Reed Live (1975) ***

Metal Machine Music (1975) ?????

Coney Island Baby (1975) ****

Rock’n’Roll Heart (1976) **

Street Hassle (1978) *****


En cours de lecture

Lou Reed, le pire d'entre eux : Partie 1

Si vous suivez Graine de Violence depuis le premier épisode, alors vous m'avez déjà entendu prononcer son nom une paire de fois. Lou Reed a toujours été là, tapis dans l'ombre, il attendait son heure pour débarquer dans ce podcast qui lui doit beaucoup. Aurais-je écrit ne serait-ce qu'un seul mot si mes oreilles n'avaient jamais croisé le Velvet Underground ? Pas sûr. Tout comme ses ex-comparses du Velvet qui ont déjà ey droit à leur Graine de Violence - comme par hasard - Lou Reed a largement contribué à alimenter, pour le meilleur et pour le pire, une mythologie discutable. Si le rock était une religion polythéiste, alors Lou Reed serait Hadès, le dieu des Enfers. Les grands amoureux de l’œuvre du rockeur qui se voyait écrivain vous diront qu'il était un personnage compliqué, tandis que les autres décrèteront, sans détour, que c'était une ordure. Dans ce double épisode exceptionnel, je tente d'expliquer - à vous et à moi-même - ce qui me touche tant dans la musique de ce grand méchant du rock.

Quelques références…

Des bouquins :

Lou Reed, A Life – Anthony DeCurtis

Perfect Day, An Intimate Portrait of Life With Lou Reed – Bettye Kronstad

Transformer – Ezra Furman

White Light White Heat – Richie Unterberger

The Velvet Underground – Jim DeRogatis

Lou Reed, les Années Noires (chapitre du livre The Dark Stuff) – Nick Kent

Please Kill Me – Legs McNeil & Gillian McCain

Les articles de Lester Bangs :

Sourd-muet dans une cabine téléphonique : une parfaite journée avec Lou Reed (1973)

Monolithe ou monotone ? Metal Machine Music de Lou Reed (1975)

Comment je me suis castagné avec Lou sans m’endormir une seule fois (1975)

Comment devenir tortionnaire sans effort (1976)

Le plus grand album jamais enregistré (1976)

Des disques :

The Velvet Underground :

The Velvet Underground & Nico (1967) *****

White Light White Heat (1968) *****

The Velvet Underground (1969) *****

Loaded (1970) ****

VU (1985) ****

Les Lives :

1969 : The Velvet Underground Live (1974) *****

Live MCMXCIII (1993) ****

Lou Reed Solo :

Lou Reed (1972) ***

Transformer (1972) ****